Premier Chapitre

Coucou à vous. Je vous mets ci contre le premier chapitre du livre que je suis en train d'écrire. J'espère que vous aimerez!!!!!!!

Chapitre 1 

J’entrais dans la salle de bal, vêtue d’une magnifique robe argenté échancré à partir de mi-cuisse. La salle était énorme, les murs semblait être couverts d’or avec des piliers de bronze qui donnaient un côté magique à la pièce. Il devait y avoir plusieurs centaines d’invités et tout leur regard étaient braqués sur moi. Je regardais autour de moi et vit les sourires de toutes les personnes présentent. Je distinguais un mouvement devant moi, et regardais donc ce que c’était. Un magnifique jeune homme me tendait sa main avec un immense sourire. Il portait un costume très élégant et avait les cheveux blond avec des yeux bleus perçants, je lui tendis ma main, qu’il attrapa en me disant :

« Mon amour, tu es ravissante »

Je le connaissais donc. Il m’entraîna sur la piste de danse pour ouvrir le bal. Nous commençâmes à danser sous les regards émerveillés des autres invités. Mes pieds semblaient danser tous seuls, entrainés par ce garçon qui me faisait perdre tous mes moyens. Nous ne regardions dans les yeux et je le vis ouvrir la bouche pour me parler quand :

« Alexia ! Lève-toi ! Tu vas être en retard en cours ! »

            J’ouvre les yeux. Un rêve ! Encore ce stupide rêve ! Pourquoi je n’arrête pas de faire ce rêve stupide ? Je regardais autour de moi et comparait ma petite chambre à la salle de bal fictive. Au lieu de mur en or, les miens sont rose bonbon, couleur que j’avais choisi alors que je n’avais que 6 ans, pas de magnifiques piliers en bronze, en fait pas de piliers du tout. Ma chambre se résume à quatre murs roses, un petit lit d’où mes pieds dépassent, une armoire et un bureau. J’entends des hurlements provenant de la cuisine et me dis qu’il faut que j’aille aider ma mère. Je me lève donc et pars en direction de la cuisine. Au fur et à mesure que je descends les escaliers, les hurlements se rapprochent. J’entre dans la cuisine et vois ma mère avec Oliver dans les bras en train d’essayer de faire prendre leur petit-déjeuner aux jumeaux, Dan et Steven.

Que je vous explique, j’ai une très grande famille. Je vis dans une petite maison à Naples (pas celui d’Italie, celui de Floride aux Etats-Unis) avec ma mère Sylvia, les jumeaux, Dan et Steven, qui ont 9 ans et le petit dernier, Oliver, qui vient de fêter ses 4 ans. En dehors de ça, mon père, Aaron, vit à Washington avec mes trois grands frères, Luke, 20 ans, Dave, 19 ans, et Richard, 18 ans et mon frère jumeau, Alexander, 16 ans. Mes parents ont divorcé juste après la naissance d’Oliver et ils nous ont demandés de choisir avec qui nous voulions vivre, vous avez deviné qui j’ai choisi ! Les vies de mes parents sont très différentes : mon père est politicien et vit dans une énorme maison avec beaucoup trop de pièces pour toutes les visiter en une journée, alors que ma mère est infirmière et vit dans une toute petite maison, que l’on peut visiter en quelques minutes. Je n’ai revu ni mon père ni mes frères depuis le divorce, honnêtement j’ai essayé de les contacter mais ils n’ont jamais répondus et n’ont pas donné suite. La vie avec ma mère n’est peut-être pas géniale mais je suis heureuse et c’est tout ce qui compte. Elle travaille presque 18 heures par jour donc je dois m’occuper des trois petits presque tous les jours mais je sais qu’elle fait tout son possible pour nous offrir la meilleure vie possible et s’occupe le plus souvent possible de nous.

Aujourd’hui, par exemple, elle va au travail plus tard pour pouvoir emmener les jumeaux et Oliver à l’école. Comme chaque matin, la cuisine est un vrai champ de bataille. Les jumeaux se chamaillent, se jettent de la nourriture dessus et se battent alors qu’Oliver pleure. Je regarde ma mère, elle me ressemble beaucoup grande, élancée, avec de grands cheveux bruns, notre seule différence est la couleur de nos yeux : les siens sont bruns alors que les miens sont verts émeraudes comme ceux de mon père. Elle a l’air fatigué. Je m’avance vers elle et lui prend le petit dernier des bras en lui disant de boire son café tranquillement. Puis je pose Oliver dans la chaise et m’approche des jumeaux pour les forcer à s’assoir à leur place, et manger leur petit-déjeuner calmement. Après cela, je me sers un café et le bois presque cul-sec car je sais que je vais bientôt devoir partir, si je ne veux pas être en retard au lycée.

Je remonte rapidement dans la chambre pour me préparer. Je suis en train de me brosser mes cheveux quand j’entends sonner. Je ne vais pas ouvrir je sais que ma mère va le faire et que le personne va monter me retrouver dans ma chambre. J’avais raison ! J’entends les marches grincer et ma porte s’ouvrir dans mon dos. Je mer retourne pour dire bonjour à Lydia, ma meilleure amie depuis toujours. Nos grands-mères sont amies, nos mères également alors nous aussi. Lydia est magnifique, grande, blonde aux yeux bleus et tous les garçons tombe sous son charme, c’est également la seule personne qui me comprend vraiment. Je n’ai jamais besoin de lui dire mes sentiments, elle les connait déjà. Quand je pleure, elle pleure avec moi, quand je ris, elle rit aux éclats, et c’est réciproque. Quand mes parents ont divorcés, elle est la seule à avoir compris combien cela a été difficile pour moi. Je lui confis tout. Lydia s’approche de moi, me prend la brosse et se met à me coiffer.

« Tu as fini le livre demandé par M. Anderson, me demande-t-elle.

-          Oui ! D’ailleurs je l’ai trouvé passionnant !

-          Je ne te comprends pas. Honnêtement comment peux-tu avoir trouvé Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur passionnant ?

-          En le lisant, Lydia, tout simplement, je lui réponds en souriant.

-          Eh ! Je l’ai commencé mais ensuite j’ai reçu un appel d’Antonio et je me suis intéressée à autre chose qu’au livre…

-          Stop !, je lui crie. Je ne veux pas savoir ce que tu as fait après, je pense être trop jeune pour cela.

-          Oh arrête ! On a toutes les deux 16 ans. Tu devrais être capable d’entendre mes histoires.

-          Peut-être, mais je n’ai aucune envie d’avoir ces images dans la tête après. »

Et voilà, qu’elle se met à rire. Ce qu’elle peut m’exaspérer parfois. Je me lève, prend mon sac de cours et entraîne Lydia dans l’escalier. Quand on passe dans la cuisine, les jumeaux sont de nouveau en train de faire des bêtises, Oliver pleure et ma mère me regarde désespérée. Je fais un bisou à tout le monde, puis je sors et monte dans la voiture de Lydia. Je m’assois à la place du mort tandis que ma meilleure amie prend la place de la conductrice. Elle met le contact, allume la musique à fond et démarre. Nous avons 20 minutes de voiture de chez moi au lycée quand il n’y a pas de bouchon, ce qui est par chance le cas aujourd’hui car nous sommes déjà en retard. Au lieu de 20 minutes, nous mettons à peine plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que Lydia n’a pas vraiment respecté les limitations de vitesse. Elle se gare à sa place habituelle et nous descendons de la voiture.

Nous prenons nos affaires et entrons dans l’école. En arrivant au niveau de nos casiers, Skylar et Selena sont déjà appuyés contre. Ce sont les deux autres filles qui constituent notre groupe d’amies, qui existe depuis plus de 10 ans. Skylar est rousse aux yeux bruns avec des taches de rousseur partout mais elle est quand même super jolie, Selena quand a elle est une rebelle pure et dure, elle a la peau mate, les cheveux noirs, des yeux noirs, des tatouages et des piercings mais elle est super gentille. Nous formons à nous quatre le groupe d’amies stéréotypé : Lydia, blonde aux yeux bleus et capitaine des pom-pom girls, Skylar, rousse avec des tâches de rousseurs et la fille sympa et sage, Selena, peau mate, tatouage et rebelle, et pour finir moi, Alexia, brune aux yeux verts, pas très jolie et une vrai intello.

Au moment où Lydia et moi arrivons à leur niveau, pas de ‘’salut’’, rien, juste Skylar qui nous saute dessus en déclarant :

« Vous êtes au courant pour le nouveau ? »

Lydia et moi nous regardons mutuellement interloqués, pour ensuite porter notre regard sur Selena.

« Elle ne parle que de ça depuis ce matin, dit-elle en haussant les épaules.

-          Un nouveau, ce n’est pas super une nouvelle personne à l’école. Je suis super contente, hurle presque Skylar.

-          Sky ! Ralentit ! Et explique-nous !, la coupe Lydia

-          Désolé, désolé ! Je vous explique. Ce matin, j’étais par hasard devant le bureau du principal et j’ai entendu une conversation entre le proviseur et la secrétaire. M. Peters disait qu’il fallait préparer l’arrivée du nouvel élève et Mme. Marot a dit qu’elle avait déjà tout organisé…

-          Et après ?, la coupe Lydia

-          Oh ! Après je n’ai pas écouté. J’étais trop pressé de vous l’annoncer.

-          Donc tu ne sais pas dans quelle classe il va être ?, je lui demande.

-          Euh… Non. Mais bon, un nouveau c’est génial. Il ne connait personne, faut qu’on lui mette le grappin dessus avant Stéphanie.

-           Attends ! On ne sait pas quel âge il a, ni son nom, ne dans quelle classe il est. Il pourrait très bien être en première ou en dernière année, non ?, l’interroge Selena.

-          Oh, Sel ! Soit pas si défaitiste. Avec un peu de chance, il sera dans ma classe, rétorque Skylar.

-          La probabilité est très faible, quand même, je dis. »

Notre conversation s’arrête là car nous entendons la sonnerie qui nous indique que nous devons aller en classe. Skylar, Selena et Lydia sont dans la même classe, et moi dans une autre. Je sais qu’elles commencent par des mathématiques alors que moi je commence avec une heure de sciences.

J’entre dans ma classe et m’assied à ma place habituel pour les travaux pratiques de sciences. Avant en binôme j’étais avec Robert, mais il a déménagé, du coup je suis toute seule. Le professeur M.Rovin nous donne les consignes et nous demande de commencer. Je vais chercher un bécher au fond de la classe et me remet à ma place. Quand on toque à la porte. Celle-ci s’ouvre et je suis tellement étonné que je fais tomber mon bécher au fond qui se bris sur le sol.

                                                                                                                        Mlle.AS